Dans la gazette de printemps 2019, vous retrouverez les rubriques habituelles avec nos offres de sous-bock et étiquettes pour les collectionneurs, un article sur le pH, les accords bières et mets, l’histoire de la brasserie de Hardinghem, les nouvelles brasseries, les nouveautés de nos brasseurs des Hauts de France et même la recette de crackers aux drêches.
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L’oxygène en brasserie
Dans la prochaine gazette, nous évoquerons l’oxygène, indispensable à la vie sur terre. L’oxygène peut être l’ami mais aussi l’ennemi du brasseur. Pour illustrer cet article, voici quelques photos de levures en division (bourgeonnement) lorsqu’elle se trouve en présence d’oxygène.
L’embouteillage
L’embouteillage : On peut y perdre beaucoup de temps, y croiser de nombreux bouchons, on peut y entendre des coups de Klaxon (Alarme), il peut y avoir des bris de glace ou des chocs. Notre gazette n’est pas celle de Bison Futé mais des Eswards Cervoisiers, je ne vous exposerai donc pas le calvaire de l’automobiliste sur le périphérique aux heures de pointes, mais celui du brasseur qui doit mettre en bouteille sa bière dans les meilleures conditions.
La suite de cet article dans la gazette de février 2018.
Voici quelques photos de ce que l’on pouvait trouver aux Brasseries Réunies de Maubeuge pour l’embouteillage de la Porter 39.
- Lavage des bouteilles aux Brasseries Réunies de Maubeuge
- Soutireuse aux Brasseries réunies de Maubeuge
- Pasteurisation aux Brasseries Réunies de Maubeuge
Lancement de l’Estoupette de Noël
Le vendredi 10 novembre, l’association était représentée au lancement de l’Estoupette de Noël à Riencourt Les Cagnicourt.
Dégustation de l’Estoupette de Noël, visite guidée de la brasserie avec vidéo des travaux d’aménagement, petite restauration (Assiette de charcuterie) et produits régionaux avec le réseau « La ruche qui dit oui ». Brigitte toujours aussi joviale nous a ravi avec une bière de Noël bien équilibrée sans épice, mais avec un très beau travail sur les malts. Le prochain rendez-vous est pris pour le lancement de l’Estoupette de printemps.
Buvait-on uniquement des bières locales avant-guerre ?
La mode actuelle est de consommer local, c’est d’ailleurs le but de notre association pour nos bières des Pays Bas Français (Hauts de France). Le nombre croissant d’ouverture de brasseries confirme cette tendance. Aujourd’hui, nous approchons le millier de brasseries en France, nous sommes encore loin des 2000 brasseries à la fin du 19ème siècle, mais la dynamique est lancée.
Au début du 20ème siècle, la bière était essentiellement consommée en tonneaux fournis par le brasseur local. Chaque ville ou village avait sa ou ses brasseries. Après la 1ère guerre, le nombre de brasseries a fortement chuté, suite à leur destruction totale ou partielle ou au manque d’effectif valide pour les reprendre. Le développement des moyens de transport, les progrès en hygiène (pasteurisation), et l’arrivée de la bouteille ont permis à la bière de voyager sur de plus grandes distances. On peut donc se demander si le consommateur buvait essentiellement des bières locales avant la seconde guerre ou s’il commençait à boire des bières « exotiques ».
La suite de cet article sera disponible dans la gazette de septembre 2017 (Envoyée aux membres de l’association)
Vous pouvez découvrir ci-dessous 2 liens (Cliquer sur l’image) qui complètent cet article.
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